Morceaux choisis

Un topic dédié aux moments que vous avez préférés et aux scènes qui vous ont marquées.

Voici ce que j'ai vu de mon point de vue d'orga (qui ne m'a malheureusement pas permis d'être partout à la fois) :
- Mention spéciale de la super-classe pour le braquage de Ratchyck sur Acylines et particulièrement sa fuite par la fenêtre : sans une hésitation, tenant acylines en joue il ouvre les rideaux, la fenêtre et saute gracieusement au moment précis ou les renforts entrent dans la pièce... je me suis cru au cinéma!
- La plus belle surprise pour Herbert Ponche lorsque l'amant d'Eliane vient lui crier au visage qu'il est cocu... Stéphane si tu avais pu voir ta tête sur le moment
- Le coté touchant insoupçonné lorsque Pierre comprend que le petit Albert est en fait son fils, il en a bégayé pendant 2 bonnes minutes
- Le moment d'angoisse lorsque je jouais le serveur et que j'étais à coté du Général Alcryss devant la cheminée, il se retourne vers moi me regarde fixement et dit "ils sont là... les morts... ils sont tous là..."
- L'accent inimitable de Pénélope Acylines "Mais Jaaacques, Monsieur mon mâri, où êtes vouuuuus??"
- Le professionnalisme de Mr André lorsqu'il a saisi l'occasion d'assommer Ratchick sur une diversion du notaire
- La fuite de cathie Fulcrow embarquant tous les documents du coffre et passant devant Ratchick alors menotté à sa chaise... j'ai quasiment cru qu'elle allait s'arrêter pour lui faire un pied de nez!
- etc...

Il y a beaucoup de scènes dont j'ai entendu parler mais que je n'ai malheureusement pas vu, la gaffe de Jeanne Canelet sur les amours de Mr Lafosse, l'exorcisme et le baptème pratiqués par Mr le curé, le rituel dans la cave et les morts à la chaine, les "explications" dans les couples Lafosse et Ponche, la confession de Soeur Marie Madeleine, les entretiens d'Alimande, le poison découvert par Micheline, la scéne "hot" entre Ratchick et Latrée enfermés dans le bureau... et encore plein d'autres!

Je tenais ici à vous redire que vous avez forts bien joués et que vous avez gaté les orgas !!!
A vous

Concernant le baptême, celui-ci n'a pas eu lieu, le petit Albert était en fait déjà baptisé. Mais vu les réactions que ce baptême a suscité, il est peut être intéressant de noter, pour une prochaine fois, que le petit Albert n'est pas baptisé (ce qui est compréhensible, vu qui est son père, en tout cas son père présumé).

Petite blagouze lancée, hors jeu, sur un faux indice distillé par Anne ou Pierre : Ratchik cherchant 2 de ses compatriotes :
"Un Ratchick, ça va... Mais Ratchick, Ratchick, Ratchick... Aïe aïe aïe !!!"

Les quelques instants magiques que j'ai vécu :

La scène d'explication maritale entre Herbert et Eliane Ponche suite à l'irruption et au départ de son amant. La colère et l'indignité m'étranglaient. La très désarmante Eliane m'expliquait avec calme que "bien sûr elle avait des amants". Et au dehors, au même moment Marguerite et Frédéric Lafosse, ce détestable instituteur laic se faisaient une scène de ménage.
Eux aussi semblent avoir des problèmes conjugaux marmonnais-je en les regardant par la fenêtre. Et la douce voix d'Eliane derrière moi de répondre "Je crois que c'est à cause de moi"

L'exorcisme par M. Le curé. L'objectif était d'occuper Petrinet suffisamment longtemps pour permettre à Pénélope de faire son rituel sous le contrôle de Cécilien. Je lui racontais donc mes déboires conjugaux en faisant monter peu à peu la sauce, lui expliquant que j'avais des envies de meurtre envers Frédéric Lafosse. La tension était grande dans la petite chambre, j'étais nerveux, je commençais à croire ce que je débitais et là, grand moment :

J'ai bondit sur lui, intercepté juste à temps par M le curé qui, sous mes hurlements, fit sortir Frédéric et pour me calmer procéda à un exorcisme en règle. Il fut vite rejoint par Eliane qui jugea plus efficace un savant mélange de tendresse et de baffes. Personnellement, j'ai trouvé que Petrinet s'y prenait mieux (en tout cas c'était moins humiliant ) J'ai dû épouser une anglaise sans le savoir...

- Les 20 premières minutes dans la maison: une gêne on ne peut plus réelle avec les hommes d'un côté, les femmes de l'autre: c'était très bien dans le ton, ça m'a tout de suite mise à ma place de maitresse de maison qui se doit de faire en sorte que ses invités se sentent au mieux (que c'est dur! merci aux serviteurs par ailleurs)^^

- un début de partie d'échecs entre le Général et moi. Entre stratégie, et placement de pions: un grand moment cinématographique avec l'émotion et le fol espoir du Général qui voulait absolument reparler à sa femme, et puis moi actrice voulant jouer à la souris et ne le contredisant pas sur ses espoirs...

-les réactions face au premier meurtre, la tension qui monte, les discussions qui s'approfondissent...

- ma fausse dispute conjugale dans LA pièce avec M. mon mari..... pour lui laisser le temps de crocheter le coffre... avec un petite explication entre nous tout de même: "Mais comment se fait-il que vous sachiez crocheter des serrures mon âmi? " -" C'est que, vous voyez, je n'ai pas un passé très blanc" "Ne vous inquiétez pas mon cher, j'ai bien vu qu'il y avait une partie de vous sombre, je l'ai vu dans vos yeux, c'est aussi pour ça que je vous ai épousé" s'en suit des "Oh Jaaaaacques", "Ma chère Pénéloppe" pleins de miel et de fleufleurs roses^^ ... (sans savoir bien sûr absolument rien de son passé, ni de ce qui allait arriver)
moi: "Mais, et vous et Cathie?" "Ma mie, jamais je ne vous tromperai!" (Dis moi si je me trompe Arnaud, mais il me semble que c'était bien ça)

-la discussion théologique avec M. le Maire: "Comment arriver à un niveau de sainteté tel que se promener nu ne serait plus ni pêché, ni gêne"
-la soeur destituée: je ne l'apprends qu'après coup et nous avons eu une discussion pleine d'amitié et de compassion de ma part et pourtant si fausse de sa part! incroyable comme on peut se faire berner!!